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Samedi dernier mon Maître m'avait donné rdv en cam pour un bon plan cam et ce dimanche également. Toute la semaine mon Maître géra mon éjaculation et mes tenues pour sortir ou aller au taf. Tout commença samedi dernier par de longues heures de lopages  intenses avec des pauses pour me ménager et des temps forts.  Dès le début le ton fût donner, avec un bon travail de cul avec mes doigts. J'étais bien sur à poil avec mon collier et mes pinces à tétons. Il me poussa très vite à enfoncer tous mes doigts, les phases succéssives étaient entrecoupées de poppers pour bien me dilater le trou. J'en arrivais très vite à m'enfoncer la main à mon grand étonnement, je me disais que si Maître voulait me fister lors d'un plan réel il n'aurait alors aucun prôblème ;-) .

Puis vint le travail des tétons, toujours intense et trés bonavec Maître AL. Il sait que cela me fait bien gémir et mouiller. Puis travail de mon trou, avec le gros plug assis dessus puis le retirer et le remettre en me gazant de popppers. Un déllice et une jouissance du cul au nirvana lorsque Maître m'ordonne de faire des va et vient dessus. Le petit plus c'est qu'il me demanda de tirersur mes pinces. Après tout cela une pause d'un dizaine de minute s'imposa, et je dû rester par terre, allongé sur une serviette tel son clébard. Les pinces que j'avais aux couilles me faisaient mals mais je supportaient sans broncher.  Ensuite Maître me fit attcaher les couilles avec ma corde pour la passer par mon collier, pour bien tirer dessus et me retrouver à genou le bout de la corde attachée à mon bureau. A cet instant je me sens vulnérable et tout à lui. Un sentiment d'appartenance tel que lo'rsqu'il me demande de tirer sur la corde je le fais. Cela a pour effet de me remontrer et travailler les couilles subtilement. Je restais comme cela jusqu'à l'éjaculation, chose qu'il me fit faire par étape, en m'autorisant à me brnaler et à stopper dès que le jus montait. De ce fait dans cette position de parfait soumis, gazé, je jutais donc par accoup à son désir et bouffer mon jus avec délectation imaginant que c'était le sien.

Toute la semaine qui s'écoula jusqu'à ce jour je ne jutais point et ne me touchais pas la queue. Maître me fit aller au taf sans slip. On parla un peu dans la semaine d'un éventuel rencard réel qui a tendance à se préciser.

Ce jour, Maître s'occupa de nouveau de moi de la même façon que samedi dernier, en y ajoutant un bon travail de couilles avec des chaussures. 1, 2 puis 3 chaussures accrochées à mes couilles et une dernière sur ma gueule en guise de masque, pour bien sniffer l'odeur. Je m'interrogerais alors à l'odeur que pourrait avoir mon Maître ;-)

Le plan se termina avec l'autorisation de juter comme samedi dernier, attaché par les couilles. Merci Maître de vous oocuper aussi bien de moi et me faire progresser. J'espère vous rencontrer trés bientôt afin de gouter à votre jus à vous sentir en moi à humer votre odeur. Merci Maître AL.