eicos

Le rdv avait été fixé l'avant veille pour cet aprè midi. Comme toute cette semaine, intense en lopage, je me préparais en faisant un lavement et en mettant mon string ma cagoule. Je me tenais ainsi prets face a la cam, le matos à portée, moi à genou main sur tête. Mon Maître, toujours ponctuel commenca directment par me faire mettre les pinces à tétons et me faire ligoter couilles et queue. Je dû passer la corde par derriere, bien calée dans ma raie et la faire remonter jusqu'à mon cou et l'attacher mon collier en tirant bien fort dessus avant. Mon Maître me contempla ainsi sous toutes les coutures pendant quelques minutes. Mes couilles étaient sous moi mon cul rebondi par cette corde qui me remonté dans tout le dos. Cela me donnait une vraie position de pute. Ensuite je reçu l'ordre de retirer la corde et de la faire passer par devant pour bien remonter mon paquet. Mon Maître sembla plus apprécier cette position de mon paquet redressé vers l'avant que la position juste avant.  La suite fut consacrer à me mettre les pinces autour de mes tétons. Je mis donc 11 pinces sur chaque pectoraux en plus de mes pinces à tétons déja en place depuis le début du plan. Cela tira immédiatemnt sur mes pecs, une sensation de brûlure tout autour des tétons. Les pinces japonaises sur mes tétons en devenait du coup indolore. Il faut dire que je suis maintenant habitué à mes pinces à tétons et que e travail quotidien que me faire faire mon Maître porte ses fruits.  Ensuite je dû me goder avec mon plus gros plug. Mon Maître m'autorisa à sniffer du poppers pour cela. Mais il faut dire que le godage ne se passa pas très bien et que cela aggaca fortmement mon Maître. Je dû en effet aller nettoyer 3 fois mon plug et mon cul. Mais mon Maître me fit faire, plug collé par terre de bons allez retour dessus, me faisant ainsi couler du petit jus à ma queue de pute toute molle. Je bouffais ce petit jus au fur et à mesure qu'il coulait sans forcémenet attendre l'ordre. ensuite le Maître me fit retirer les pinces à lindes de mes pecs deux par deux sans m'autoriser au poppers. C'est toujours trés intense en douleur ces moments la et mon Maître à l'air de  les apprécier, surtout que cela me fait toujours grimacer et gesticuler comme une vraie sale pute. Ensuite je pû retirer tout les accesoires un par un. Une fois les pinces à tétons retirer, je dû tordre mes tétons ce qui me fit tordre de douleur et couiner de plaisir. ensuite je dû remettre mes pinces et rester ainsi à genou un bon trois quart d'heure à me branler la queue sans que je puisse jouir. Une vraie torture car je dû arréter maintes fois pour ne pas juter. Mais mon Maître me demandais à chaque fois de me branler mais de stopper dès que je sentais le jus monter. "Si tu jutes tu bouffes" me lança t'il. Mon Maître sait que je n'aime pas cela, et ce fût un bon moyen de dissuasion. Le plan en resta la, par manque de temps et pour que nous puissions chacun aller manger. Mon Maître me donna rendez vous au soir pour un nouveau plan.
Au retour, aprè sune pose de deux bonnes heures, il me fit reprendre la pose à genou, a poil et à me branler la queue. Cela dura encore une bonne heure, entre les arrets de branle pour éviter que je ne jute et les recommendation de mon  Maitre de me branler mais de m'arrêter à la limite de la jouissance. Il me fit ensuite m'assoir sur mon fauteuil en me demandant de prendre une position de pute. Je  m'affalais donc dans le fond du fauteuil et mes pattes de clebs sur le bureau. Je continuais à me branler de plus belle car mon Maître m'incitais à me branler de plus en plus vite mais toujours sans juter ! Et ce qui devait arriver arriva, je me mis à juter tout ce que j'avais pu emmagasiner. Je me remplis la paume de la main d'un jus bien épais, et le montrais à mon Maître. Je n'étais pas fier de moi et imaginais la suite. "Tu as juté sale batard, alors maintenant tu bouffes !". J'approchais ma main de ma gueule et je commencais à mettre ma langue dans mon sperme. Il était amer mais cela pouvait aller et je continuais donc tout en faisant la grimace. Je léchais tout et manger le tout et j'avoue que mes peurs n'étaient pas vraiment fondées et que cela n'était pas si terrible que cela finalement. Je terminais en me délectant et en sucant un par un tout mes doigts. Merci Maître de m'avoir fait franchir une des mes limites. Je vous apartient plus que jamais.