eicos

Comme prévu la veille, je me préparais à nouveau à faire un plan cam avec mon Maître dans les mêmes conditions.
Une fois mon lavement effectué, je me mettais à poil juste vétu de mon string, mon collier et ma cagoule. A genou et main sur la tête j'attendais mon Maître. Cela deviendra peut être une régle de l'attendre ainsi, je n 'en sais rien pour le moment. Ma ponctualité et surtout celle de mon Maître nous fit cmmencer le plan cam à l'heure et ceux pour plus d'une heure de lopage intense.
Une fois la cam mise je dû mettre les pinces à tétons sur mes seins, une fois de plus. Cela devient aussi un rituel et peut être bien une nouvelle régle. Puis rapidement la cordelette qui m'avait servi hier a serrer mes couilles rdû reprendre du servive. Mais cette fois je dû attacher mes couilles et ma queue et mettre du poids. Une fois fait, mon Maître m'imposa de faire balancer le poids entre mes jambes. Uniquement d'avoir le poids attaché a mon paquet était déja une souffrance mais de le faire balancer en plus rajoutais de la douleur mais aussi une certainnes excitation à ma queue. Mon Maître me fit donc mettre la grosse pince noire sur mon gland. Une habitude récurente qui permet d'éviter que ma queue ne coule de jus en permanence. Au bout de 10 minutes de balance de mon poids Maître jugea que je n'en avais pas assez et me fit rajouter un poids supplémentaire. Le petit plaisir que j'avais eu avec le premier poids s'estompa rapidement pour me faire passer à une douleur plus forte et me rendre donc plus salope et surtout plus excité.  Lorsque mon Maître s'occupe bien de moi de la sorte je me sens trés pute et à sa merci. Cela à le don de me faire mouiller a fond. Avec ma pince sur le gland empéchant toutes échappées de ptit jus, je ressentais par moment des giclées de ptit jus ou de jus arriver jusqu'à mon gland.
Le poids allongeant mes couilles, la deuxieme charge touchez par terre quasiment, lorsque mon Maitre me fit faire 10 flexions. Enorme, car la douleur avec les flexions se multipliait.
Ce travail de couilles continua de plus belle lorsque mon Maître me demanda de placer sur mes couilles déja bien sollicité par les poids toutes mes pinces à linges. 22 pinces furent donc placées sur mes couilles. Le placement n'est jamais guère douloureux mais j'imaginais déja la suite lorsque Maître me demanderais de les retirer. aie..
Je dû encore faire des flexions avec les pinces et les poids, je gueulais et criais alors de plus belle, comme une vraie chiennasse que mon Maître était en train de me faire devenir. Je crois de plus en plus que si mon Maître s'occupe aussi bien de moi il va me faire dépasser mes limites et me faire devenir une vraie pute et chienne au vraie sens du terme.
Puis il me fit enfin retirer les poids, ce fut une vraie délivrance pour mes couilles, mais délivrance de courte durée. "Passe la corde dans ton dos et tire à fond et noue la corde autour de ton cou." J'executais alors cet ordre qui redonnèrent à mes couilles tout le feu qui s'était estompé en retirant les poids. La douleur était intense et soutenu mais je sentais que j'aimais ca, ma queue frétillais et je ressentais le ptit jus arriver par petit jet jusqu'à mon gland prisonnier de la grosse pince noire. Je restais ainsi un bon moment, puis mon Maître m'ordonna de passer la corde par devant pour bien faire tirer mes couilles vers le haut. Puis je dû sucer mon moyen plug. Je fis cela avec délice avant de m'y empaler dessus. Après plusieurs aller retour, ce fut le temps de retirer les pinces des couilles deux par deux !  Un vrai supplice qui me rends complétement dingue. Un peu de poppers aida à cela. Ce suplice je l'imagine si mon Maître me le fait subir en réel. Il va m'accorcher au rideau avec cela ;-) c'est trés intense mais du fait que je le fasse moi,je peut en maitriser la douleur et ainsi l'intensité. Si mon Maître retire lui même les pinces je risque de tomber de douleur !! A voir....
Une fois cette intensité aux couilles passé mon Maître me fit retirer la corde, le plug le collier et ma cagoule. Il termina par les pinces a tétons. Un petit snif de pop, et mon Maître me fit tordre les bouts de mes tits. ce qui m'affola et me rendit trés chienne, à quatre pattes en train de tirer ma langue. Cela affola mon Maître aussi :-)
En dernier je retirais ma pince noire de mon gland et récupérer un ptit jus bien épais au creux de ma main et de mes doigts. L'ordre de bouffer tout ne se fit pas attendre. Je me délectais de ce jus avec délice, et faisait comprendre à mon Maître que j'essayerais bien de bouffer mon vrai jus. Mon Maître acquiessa et me dis que cela dépasserais alors mes limites. D'un commun accord on acquiessa le fait que j'étais sa pute faites pour dépasser mes propres limites, j'étais sa chienne pour me dépasser, pour le satisfaire.